mardi 25 octobre 2016

Archer's voice ; Mia Sheridan.


Coucou, les gars !


Acher's voice. J'en ai tellement entendu parlé, tellement vu en librairie, et moi et mon obsession pour les dos, j'ai été faible et j'ai craqué en l'achetant ! Sauf que la couverture (aussi belle soit-elle, même si elle est hideuse mais que le dos est magnifique) n'était pas à la hauteur de l'histoire. Ou plutôt l'inverse.


Archer's voice, on me l'a décrit comme "un super livre avec des personnes torturés et une histoire sombre". Un truc pleins de rebondissements et quand j'ai lu la quatrième de couverture, j'y ai cru, moi ! Sauf que voilà, l'héroïne nommée Bree est une jeune femme qui décide de quitter l'Ohio pour le Maine après un événement passé avec son meilleur ami. On apprend par la suite qu'elle n'a plus de parents et qu'elle a vécu un événement traumatisant. Elle tombe alors sur LE garçon mystérieux, beau comme un dieu mais qui paraît réservé voire méfiant.


Alors là, forcément, je suis une fille bourrée d'hormones et qui ADOOORE ce genre de mecs dans l'esprit bad boy donc je me dis que je vais adorer l'histoire. Et oui, je l'ai plutôt bien aimé durant 150 pages. Et après, ça a été long. TRES LONG.

Je me suis ennuyée car les personnages ont vite tournés en rond et l'histoire qui paraissait incroyable ne l'est pas tant que ça. J'ai trouvé une très grande ressemblance à "Maybe someday" et "La belle et la bête". Vraiment. Sauf que là, c'en était dérangeant. Même le suspense censé nous tenir en haleine tout du long, on le devine plus ou moins au milieu de l'histoire.

C'est dur d'être objectif quand on n'a pas aimé sa lecture. Je peux pas dire que ça a été une torture non plus car c'est une plume très simple donc les pages se tournent toute seule mais j'ai sauté plusieurs pages et passages à cause de l'omniprésence de scènes érotiques et de longues périodes à parler des sentiments de Bree qui vantaient l'amour qu'elle a pour son copain et vraiment, c'est lassant.


Petit top 3 des trucs qui m'ont le plus dérangés :

1.Archer est un ermite. Il ne connait rien du monde ou de la vie. Tout ce qu'il sait, il l'a appris dans les livres et je dois avouer qu'au début, ça a son petit charme. Mais à la fin, on a juste l'impression d'être en face d'un gamin de 5 ans qui a peur de tout et vraiment, je prends pas mon pied à lire le récit de Bree qui surprotège un homme de plus de vingt ans.

2. L'amour qui dure toujours. L'histoire est originale dans le sens où, pour une fois, ce n'est pas l'héroïne qui est une pauvre vierge sans défense mais bordel, inverser les rôles juste pour inverser les rôles, ça ne marche pas ! On le sait depuis le temps que les hommes ne fonctionnent pas pareils que les femmes. Mais au-delà de ça, Brie n'est jamais tombée amoureuse mais quand elle a vu Archer, son coeur a fait boom. Et lui aussi. Et ils ne se quitteront jamais parce qu'ils s'aiment d'amour (les gars, même dans Twilight on a eu un petit doute dans le tome deux concernant la finalité de l'histoire avec Bella et Edward. Essayez de faire mieux, quoi !)

3. Le manque d'action. Vraiment, on me vente une histoire en me disant que les personnes sont torturés et que l'histoire "dure" et je me retrouve avec des mystères révélés presque tout de suite et des sentiments à peine ressentis. L'auteur met tellement l'accent sur l'histoire d'amour pleine de guimauve qu'elle en oublie de s'attarder sur les traumatismes. Genre Bree qui se remet de son SSPT en cent pages grâce à Archer, c'est un peu beaucoup du foutage de g*eule !


Bref, je devrais sans doute être moins dur avec ce bouquin mais la déception est grande. Et j'espère ne pas enchaîner avec une nouvelle lecture décevante. D'autres l'ont vraiment adorés donc je vous conseille de lire d'autres chroniques afin que vous puissiez avoir plusieurs avis. N'oubliez pas que vous êtes les seuls à savoir ce qui est susceptible de vous plaire ou non.

jeudi 20 octobre 2016

Journal d'un vampire en pyjama ; Mathias Malzieu.


Coucou les gars !


Je ne vais pas parler de coup de coeur dans ce cas de figure puisque je trouve le sujet trop lourd et avec les autobiographies, j'ai vraiment du mal à me dire que c'est un coup de coeur mais il est vrai que j'ai sincèrement adoré ma lecture. J'ai mis un 4/5 sur Goodreads (je n'ai pas l'habitude de donner mes notes sur le blog mais c'est pour vous donner un ordre d'idée). J'aurais pu mettre un 5/5 mais j'aurais aimé que le livre ne se termine jamais ou qu'il y ait un "après". C'est ma frustration qui a fait que je n'ai pas mis la note maximale.

Je ne suis pas une fanatique de Dyonisos. Aussi, quand j'ai vu qu'un nouvel album était sorti, je n'y avais pas prêté plus attention. C'est surtout le titre de ce roman qui m'avait attiré. Je le trouvais drôle. Et j'ai été extrêmement stupide car je pensais qu'il s'agissait d'un livre fantastique jusqu'à ce que je tombe sur une vidéo d'Audrey du souffle des mots qui, sur sa chaîne Booktube, a expliqué de quoi il s'agissait vraiment.


Pour faire court, Mathias (en plus d'être auteur - et bien plus encore) est chanteur dans un groupe (Dyonisos). Et alors qu'il allait sortir l'adaptation cinématographique de "La mécanique du coeur", il a appris qu'il était gravement. C'en est suivi plus d'une année d'hospitalisation, de doutes, d'incertitudes et une envie de vivre qui ne l'a jamais quitté.

La force de ce livre, c'est la plume de Mathias Malzieu. Vraiment. Je ne sais pas s'il écrit toujours de façon aussi brutale mais pour ma part, ça a été le point fort de l'histoire. Le fait qu'il ne cherchait pas à être conventionnel, qu'il n'y allait pas par quatre chemin et qu'il a vraiment utilisé ce livre comme une sorte de journal intime. Ce n'est pas écrit en vers, avec poésie, mais lâché franchement sur papier avec la vulgarité que ça peut impliqué et du coup, toute son authenticité.
Malgré la tristesse de cette histoire (qui est une partie de la vie de Mathias, je le rappelle), j'ai vraiment trouvé que ce livre était plein d'espoir. On suit un homme qui veut vivre. Il y a ses doutes, on voit ses faiblesses mais tout du long, ce qui en ressort, c'est l'amour. Celui que Mathias porte à Rosy, à sa soeur, son père, son groupe. J'ai aussi adoré voir l'attention qu'il portait à son appartement qui lui sert d'atelier créatif. Et au fil de ses hospitalisations, Mathias insiste d'avantage sur ce petit havre de paix. J'ai été vraiment touchée par les descriptions qu'il pouvait en faire et je me suis vraiment retrouvée là-dedans car mon appartement, c'est sacré !


Au-delà de ça, j'ai vraiment adoré le côté humain de cette histoire. On voit un homme presque ordinaire a qui il arrive pleins de choses terribles et ça m'a rappelé combien la vie était fragile et précieuse. C'est à nouveau une belle leçon de vie. J'ai aimé également voir l'association que Mathias (oui, on est intime maintenant que j'ai lu ce livre) fait avec son autre roman "Maintenant qu'il fait tout le temps nuit sur toi". Il se trouve aussi dans ma PAL mais si je l'ai acheté, c'est parce qu'il parlait de sa maman décédée et elle a toute sa place dans cette histoire. Mais de manière générale, tous les romans de Mathias sont cités dans cette autobiographie et ça m'a donné encore plus envie de les lire !

J'ai aussi adoré voir l'importance de l'équipe médicale dans cette histoire. Que ce soit la femme de ménage au Professeur, Mathias ne semble oublier personne et j'ai vraiment sourit devant certaines scènes car durant tout le temps qu'a duré sa maladie, Mathias n'a pas perdu son sens de l'humour et ces petites phrases. J'ai surtout ri devant certains titres de chapitres. Oui, j'ai un humour un peu débile mais certains sont vraiment super bien trouvés.

Donc oui, après une chronique aussi gentille et belle, vous ne devez toujours pas comprendre pourquoi je n'ai pas mis la mention "coup de coeur" à cette ouvrage mais je vous assure que ce n'est qu'une question de frustration. Parce que Mathias nous laisse avec cet espoir de guérison, avec le fait qu'on est en 2014 quand il conclut son livre alors que maintenant, on est en 2016. Et... Et quoi, alors ? J'aurais voulu plus. Et je crois que pour avoir plus, je devrais me contenter de lire ses précédents romans.

jeudi 6 octobre 2016

Focus auteur : John Green.


Salut les gars,

Je reviens avec un nouvel article d'un nouveau genre puisqu'il s'agit d'un "focus auteur", un article consacré à un auteur et à l'ensemble des œuvres que j'ai lu.


Pour ma part, j'ai découvert John Green il y a quelques années maintenant. C'était avant que "Nos étoiles contraires" ne soit adapté en film. A vrai dire, c'étaient les débuts, quand on commençait à parler de ce livre sans qu'il ne soit aussi populaire que maintenant.

Je ne suis pas fan des livres sur le cancer, notamment quand il s'agit de littérature jeune adulte. Je ne vais pas vous raconter ma vie ici mais j'ai des connaissances professionnelles et personnelles sur le sujet donc à chaque fois, je suis sidérée et agacée par autant d'énormités et d'incohérence. Je ne vais jamais pu lire le fameux "Je veux vivre" de Jenny Downham car la simple adaptation cinématographique m'avait déçu au possible. Comme si tout ce qui importait quand on est malade, c'est l'amour alors que clairement, en fin de vie, on plane à cause des antidouleurs et on dort pas mal. M'enfin !

Comme je le disais, j'étais plus réticente mais je ne sais pas, j'aimais le fait que les héros se rencontrent via un groupe de soutient. J'étais aussi dans une période où Amsterdam me faisait rêver donc j'ai opté pour ce livre également pour cette raison. Et pour être honnête, c'est le meilleur livre que j'ai pu lire sur le cancer (dans le YA/la jeunesse). Malheureusement, ça n'a pas été un coup de cœur. Je comprends que ça puisse l'être pour beaucoup mais dans mon cas, même si j'ai vraiment aimé ma lecture, il m'a manqué quelques éléments. Mais puisque la plume me plaisait, j'ai voulu continué avec l'auteur et j'en viens donc à un autre roman de Green.


Looking for Alaska ! Oui, je me la joue anglophone mais Qui es-tu Alaska ?, ça rend moins bien.
Et pour le coup, ce livre a été un immense coup de cœur ! Mieux que ça : Après L'Attrape-cœurs de Salinger, c'est mon roman préféré.

Je ne vais pas mentir et dire que j'ai TOUT aimé dans ce livre mais il est tellement profond et touchant... Ici, on suit Miles - dit "le gros" à cause de sa maigreur (et rien que pour ça, j'ai adoré le héros) qui se retrouve dans un pensionnat à sa demande et se forme un groupe d'amis mais surtout, il tombe amoureux d'Alaska. Ah, Alaska...

Je l'ai adoré. Comme avec Holden (dans l'Attrape-cœur), c'est le personnage qui fait l'histoire. Elle est mystérieuse, touchante, intrigante. Et ce compte à rebours qu'on ne comprend pas. Et quand enfin on comprend, l'histoire prend un autre court et wow... J'ai été bluffée.


J'ai continué dans ma lancée avec La face cachée de Margo et là, ça a été la déception la plus totale. En fait, je suis passée à côté de ma lecture. Je suis restée focaliser sur Margo, comme avec Alaska dans Looking for Alaska. Alors que bien sûr, si le livre s'appelle Paper town en anglais, ce n'est pas sans raison. Je déteste la traduction du titre car vraiment, si je n'ai pas compris l'histoire, c'est à cause de ce dernier. J'ai cherché qui était Margo sans comprendre que Margo n'avait pas sa place dans ce livre, que tout était question d'amitié, de recherche de soi, du passage à l'âge adulte...
Et bien que je n'aime pas Cara Delevigne (pardon aux fans mais c'est physique, dans mon cas), j'ai voulu aller voir le film. Et wow. Cette fois, j'ai compris l'histoire, j'ai saisi le message et je suis vraiment heureuse qu'il y ait eu un film car j'ai complètement changé d'avis sur le livre.
Il faudrait que je le relise pour que j'apprécie entièrement l'histoire mais ma PAL est bien trop grande et le temps me manque.


Bon, je ne connaissais pas David Levithan avant sa collaboration avec John Green et là, nouvelle déception avec "Will & will". Je n'ai pas compris pourquoi le roman portait le nom des deux protagonistes alors que les héros ne sont pas les Will. Ca fait longtemps que je l'ai lu maintenant (parce que forcément, je l'ai lu à sa sortie, folle de joie !) donc je ne me souviens pas de tous les détails mais je me rappelle avoir détesté ce livre et vraiment peiné à le finir.


Il ne me reste plus qu'un ouvrage de Green à lire - ou plutôt une nouvelle (Flocons de neige). Et j'avoue être tellement mitigée à propos de cet auteur que je le garde sous la main. Je le lirai sûrement cet hiver mais avec une certaine réserve.

lundi 19 septembre 2016

Rencontre avec Sophie Jomain


Hello les coquelicots,
Il y a peu était organisé à Lyon un salon du vampires. J'ai longuement hésité à y aller, j'ai même failli renoncer mais j'étais avec ma meilleure amie. Je lui ai pas trop laissé le choix en la traînant là-bas finalement (dé-so-lé Lya !!!). Et je dois dire qu'après une telle rencontre, je ne regrette pas d'avoir payé mon entrée dans le salon "juste" pour elle.
J'aurai sans doute dû être curieuse, m'intéresser à l'univers des vampires, aux auteurs et leurs histoires mais je n'avais pas du tout la tête à ça, je dois l'avouer.
Alors, Sophie Jomain !

Je ne m'étais rendue qu'à une seule séance de dédicace avant celle-ci et il s'agissait de Guillaume Musso. Un auteur très connu déjà et qui plus est, qui touchait un large public. Sa venue avait été annoncée de partout et faire une séance dédicace chez Décitre à Part Dieu, ça attire pas mal de monde. Surtout qu'il me semble que c'était un mercredi ou un vendredi après-midi. Bref !

J'avais 17/18 ans donc j'étais encore HYPER réservée, c'était mon auteur chouchou (ça l'est toujours) et après avoir attendu des heures, je n'avais pas le droit de prendre de photo avec lui, ni même de discuter pendant des heures. J'avais quand même pu échanger deux-trois mots. J'étais ravie d'avoir son attention mais pour être honnête, j'étais déçue de ne pas avoir pu échanger sur ses bouquins à proprement parlé.
Donc, quand Agnès Martin-Lugand a annoncé une séance dédicace en Mai dernier, j'avais refusé d'y aller à cause de cela. Cette peur de n'avoir au final qu'une signature un peu personnelle dans un bouquin et aucun véritable échange.
Pour Sophie Jomain, c'est différent. Je voulais lui dire tellement de choses ! On se trouvait dans un salon de vampires et moi, je suis la nana qui a débarqué avec Quand la nuit devient jour et une angoisse pas possible car j'allais rencontrer l'auteur qui a écrit ce qui est devenu mon deuxième livre préféré. Forcément, ça fou la pression !
J'avais surtout peur que la dédicace soit vite expédiée et surtout, que je ne puisse pas lui dire combien j'avais aimé cet écrit.
Sauf qu'il s'agissait d'un petit salon et que Sophie Jomain est tellement accessible ! Il devait y avoir 5-6 personnes devant nous et pourtant, on a dû faire la queue pendant 30 à 45 minutes mais ça en valait la peine. Oh oui ! Tellement !
Je m'auto félicite d'ailleurs car face à elle, malgré mes tremblements et mon stress, j'ai réussi à lui dire tout ce que j'ai pensé de son roman (ou presque). Elle aurait pu m'écouter, hocher la tête et me dire merci mais en fait, elle était vraiment émue par ce que je lui disais et elle se sentait concernée. Déjà ça, c'était énorme ! Elle ne pensait pas à la dédicace, à ce qu'elle allait écrire mais à ce que j'étais en train de lui dire.
Par la suite, c'est elle qui a pris la parole et on s'est mis à échanger pendant un bon moment. On a parlé de ce livre - et uniquement lui. J'aurais pu (et peut-être dû) parler de ses autres livres mais je ne regrette rien car c'était vraiment intense. Une très belle rencontre.
Je ne vais pas vous rapporter ce que l'on s'est dit durant cette conversation mais de toute ma vie, j'ai rarement eu une discussion aussi passionnante.
J'écris de mon côté et si j'arrive un jour à finir un roman et à le faire publier (oui, le père Noël existe dans ma tête - tout comme les licornes et les petits poneys roses), j'aimerais devenir une auteur telle que Sophie Jomain. Pas par son talent (j'en suis loin !) mais par sa gentillesse, sa douceur et son accessibilité.
Et vraiment, j'aimerais pouvoir la revoir un jour, quand j'aurais lu l'ensemble de ses œuvres pour pouvoir à nouveau échanger avec elle. C'était si beau...


Merci encore pour ce moment.

dimanche 4 septembre 2016

La liste de Noël ; Jojo Moyes


Salut les coquelicots,

Je sais, il fait 35°c à l'ombre et moi, je me crois en hiver, durant la période de Noël que j'aime tant, à lire cette nouvelle de Jojo Moyes que tout le monde a lu sauf moi...

Je l'avais déjà repéré sur pas mal de chaîne Booktube mais je n'ai acquis cette nouvelle de vingt pages d'hier. Elle est seulement disponible en format e-book mais gratuitement. Personnellement, je l'ai téléchargé via le site de la Fnac mais je pense que ça marche sur d'autres sites dans le genre.
Ma chronique sera brève mais je voulais tout de même donner mon avis dessus : J'ai adoré.

Certes, c'est très court et on en voudrait plus - toujours plus - mais c'est très bien ficelé. On en sait assez pour entrer directement dans l'histoire et suffisamment à la fin pour ne pas être frustré. Et c'est officiel : Je suis fan de la plume de Jojo Moyes. Elle est très simple mais fluide et addictive. J'ai lu cette nouvelle en dix minutes et après, j'en re-voulais encore. Il faudrait que je me plonge d'avantage dans sa bibliographie pour lire d'autres de ses œuvres.


Concernant cette nouvelle, on suit Chrissie qui doit faire ses derniers achats de Noël pour la mère de son mari, David. Sa belle-mère très chic, très exigeante aussi qui veut absolument un parfum qui est introuvable dans les parfumeries habituelles et ne mange qu'un certain type de fromage.
Chrissie fait donc le tour des boutiques de Londres à la recherche du cadeau idéal. Elle finit par entrer dans un taxi dont le chauffeur va lui faire prendre indirectement conscience que Chrissie n'est pas heureuse dans sa vie. Ce n'est pas qu'aujourd'hui, en ce 23 décembre, mais que cela dure depuis qu'elle est avec David avec qui elle n'a pas grand-chose en commun.

Cette nouvelle est très courte (c'est le principe d'une nouvelle héhé) mais on est complètement plongé au cœur de Londres, pendant la période de Noël (j'ai déjà passé un Noël anglais et vraiment, là, j'y étais à nouveau). On voit la gentillesse de Chrissie, celle du chauffeur de taxi et moi, j'adore les histoires où l'héroïne remet tout en question, sa vie, et décide de changer grâce à une rencontre (pas forcément amoureuse).

vendredi 5 août 2016

Charlotte ; David Foenkinos.


Hello !

Je ne sais pas vraiment comment résumer ce livre. Aussi, ma chronique sera certainement très courte. Ici, on peut dire qu'il s'agit d'une biographie de l'artiste Charlotte Salomon, une jeune peinte qui est morte au cours de la Seconde Guerre Mondiale. David Foenkinos nous dresse son portrait au cours de recherches qu'il a fait sur cette artiste qu'il aimait particulièrement et qui le fascinait, surtout. Car oui, au cours de cette lecture, on ressent son besoin d'en savoir toujours plus sur elle et sur ses œuvres.


Je n'ai pas encore eu l'occasion de me pencher sur son travail mais il est certain que je vais le faire après avoir lu ce bouquin ! Et je regrette d'avoir mis autant de temps à le sortir de ma PAL car vraiment, j'ai passé un très bon moment de lecture. Très troublant, aussi. Je ne peux pas parler de coup de cœur à cause de cela mais pourtant, je le recommande à tout le monde. C'est un petit livre et surtout, l'écriture de Foenkinos est toujours aussi fluide et agréable. Ici pourtant, il écrit un peu en prose. Ca révèle d'avantage le côté artistique. Et ça m'intrigue car l'auteur fait référence à un livre écrit par Charlotte justement et je me dis que son écriture est peut-être inspirée de la sienne pour cet ouvrage ? Je ne sais pas

Oui, car si j'ai lu Charlotte avant tout, c'était pour David Foenkinos. Une amie me l'avait conseillé, il y a plusieurs années. J'ai déjà lu deux de ses romans, un troisième est en cours et j'en possède encore d'autres dans ma PAL mais j'aime beaucoup ce qu'il écrit. Les histoires sont toujours simples mais belles. C'est cette justesse que j'apprécie. Avec Charlotte, c'est différent. C'est frais. Nouveau et douloureux. Une biographie, certes, mais conté différemment - c'est ce que j'ai adoré. Ce n'était pas 250 pages de blabla, d'analyses de l'Œuvre de Charlotte et cie. C'était un portrait assez flou d'elle, quelques éléments de sa vie mis bout à bout et parfois, des réflexions de l'auteur lui-même.


Voilà, je ressors de cette lecture troublée mais heureuse et curieuse, surtout. Révoltée, aussi. Parce que Charlotte est morte injustement, comme des millions de juifs à cette époque. Ca m'attriste également. Mais au-delà de ça, je pense à ses œuvres que j'ai envie de découvrir. Et je m'interroge sur cette histoire de vie peu commune et surtout, cette histoire de famille impossible. Parce que presque toute la famille de Charlotte est morte. Par suicide. Et si je reconnais des symptômes de la bipolarité, je n'en suis pas sûre. C'est un autre mystère que Charlotte emporte avec elle. Car en refermant ce livre, nous sommes plein de doutes sur qui elle était.

Je ne suis pas amatrice d'art, je ne connais que les tableaux célèbres d'un peu toutes les origines et toutes les périodes. Je n'ai que deux artistes "chouchou" dans ma vie : Van Gogh et Monet - et j'en connais leurs œuvres et leur vie. Le mystère de celle-ci dans le cas de Vincent Van Gogh et c'est sûrement à cause/grâce à cela que je comprends David Foenkinos et ce qu'il a voulu faire avec son roman. Parce que moi aussi, j'ai été fascinée par un artiste, un peintre, une personne et un personnage. J'ai voulu en apprendre plus sur lui, sur sa vie, ses œuvres, pour me sentir au plus proche de l'artiste car j'étais touchée comme jamais auparavant j'avais pu l'être. Alors, je comprends. C'est aussi pour cela que j'ai aimé ma lecture : Cette folie commune.


Cette chronique ne ressemble pas à grand-chose, j'en ai conscience, mais je ne veux pas vous "spoiler" l'histoire mais en même temps, tout ce que Foenkinos a écrit, vous pouvez le retrouver ailleurs puisqu'il s'agit d'une biographie.

Et alors que j'écris cet article, je me rends compte de l'intimité qu'il a réussi à instaurer de part sa plume. On ne parle pas de la brillante Charlotte Salomon, cette artiste morte à vingt-six ans qui était une grande peintre. Moi, je parle de Charlotte. Comme si je parlais de quelqu'un d'intime, d'une amie. Et cette "amie" va me manquer car j'ai savouré chacune des pages lues et j'aimerai la retrouver encore ; je vais la retrouver encore à travers ses œuvres. Et je vous conseille d'en faire autant.

lundi 25 juillet 2016

A comme aujourd'hui ; David Levithan.

Salut, salut !


C'est la première fois que je prends des notes au cours d'une lecture (non destinée aux cours) mais je crois qu'avec ce roman, j'étais obligée.


Passons d'abord au résumé : A se réveille tous les jours dans un corps différent. Non, pas comme Martin matin. A, lui, il peut être une fille, un garçon. Dans une ville ou un état différent. La seule constante, c'est qu'il reste dans la même tranche d'âge, comme s'il grandissait avec ces personnes dont il emprunte le corps. A vit une vie presque normale malgré ça. Il s'est aclimaté à ce mode de vie particulier et il profite de chaque instant. Seulement, tout change quand il devient Justin le temps d'une journée et qu'il fait connaissance de sa petite-amie, Rhiannon. Alors, A commence à vouloir bouleverser l'ordre des choses, il en veut plus, il ne pense plus de la même manière et nous le suivons, au gré de ces corps...


J'avais ce livre dans ma PAL depuis plusieurs mois maintenant mais j'avoue que c'est suite à la chronique d'Audrey (du souffle des mots) que j'ai eu envie de le lire. Après ça, une amie m'a tenu un discours complètement contraire à celui d'Audrey et ma curiosité était telle que j'ai voulu lire ce bouquin dans la foulée : Et je ne le regrette pas !

Je ne peux pas parler de coup de cœur car je ne ressors pas de ce livre complètement émerveillée, à me refaire toutes les scènes en tête, avec les papillons dans le ventre et tout ce qui s'en suit mais oui, clairement, A comme aujourd'hui était une très belle lecture. Je ne connaissais Levithan que grâce à Will et Will (sa collaboration avec John Green). J'ai d'autres romans de l'auteur dans ma PAL mais c'était le premier que je lisais et j'avais vraiment détesté. Aussi, quand j'ai commencé ce livre, j'avais peur. Au final, la plume de Levithan est très simple mais mon Dieu. Qu'est-ce que je l'ai aimé !


Bon, puisque j'ai pris des notes pour cette lecture, il faut que je vous fasse partager tout ça ! Parce qu'il faut le dire : Ce roman bouleverse tout ce que nous savons de la vie et toutes nos croyances. La question qui prédomine reste "Tombons-nous amoureux d'une personne ou de son sexe ?" Oui, car A peut aussi bien être un garçon qu'une fille et alors, on retombe sur cette question qu'on emploie souvent dans le cadre de l'homosexualité. Et j'aimerais dire que "non, le sexe n'a pas d'importance, la personnalité de l'autre est tout ce qui compte" mais ce serait mentir. Je pense qu'on est attiré par un sexe ou l'autre. Et qu'on est troublé quand on adore la personnalité de quelqu'un mais que cela ne "correspond pas" avec son orientation sexuelle. Parce que clairement, si A ne tient pas compte de ça, Rhiannon est vraiment troublée quand A est dans le corps d'une fille ou d'un garçon qui ne lui plait pas physiquement.

Ce que j'ai beaucoup aimé aussi dans cette histoire, c'est la prise de position de David Levithan et donc, de A. A se réveille parfois dans le corps de toxicomane, d'anorexique... En soit, A n'est pas malade. Il n'est qu'un hôte dans ces corps. Et pourtant, il ressent tout ce que le corps ressent. Je sais que c'est complexe à expliquer mais le corps garde des traces. J'ai d'ailleurs énormément le récit de A quand il est dans le corps d'une fille dépressive. On comprend alors que cette maladie (comme bien d'autres) est physique. Et ça nous ouvre encore plus les yeux sur la réalité.


Je crois que la seule chose qui m'a "dérangé", c'est la prise de position de Levithan. Je l'ai lu en français donc c'est peut-être une question de traduction et à cause du genre masculin qui prédomine en français mais... Bien que A n'est pas de "sexe" à proprement parlé, que ce soit une "chose", j'ai ressenti que c'était un homme mine de rien. Les récits masculins avaient tendance à être plus forts, plus proches de la réalité que ceux où les femmes sont à l'honneur. C'est le seul bémol que j'ai trouvé.
Ah si, avec autre chose mais bien différente : A a vécu tellement de choses, a eu tellement de vies, qu'il a tendance à croire être la science infuse. Si j'ai beaucoup aimé son speech sur la religion et tout ce questionnement sur le sens de la vie, j'ai clairement moins aimé son côté "je sais tout, j'ai tout vu, tout entendu" quand il pense dans le corps de ses hôtes.

Pour en revenir à l'histoire générale, j'ai adoré le personnage de Rhiannon ! Pour une fois, on ne tombe pas sur une héroïne coincée qui sort avec un mec beau comme un dieu et qui n'existe pas sans lui. Au contraire ! Et Rhiannon est vraiment attachante. Elle a une vie, des amis, des parents qui l'aiment... Et oui, un petit-ami, Justin, auquel elle s'attache sans qu'on comprenne trop pourquoi (Je sais qu'il y a une "suite" à ce livre et il me semble qu'elle raconte la même histoire du point de vue de Rhiannon donc je pense l'acheter pour avoir des réponses à mes questions). On la voit se questionner sur l'existence de A, sur tout ce que cela implique et merci mon Dieu ! Rhiannon pourrait être chacun d'entre nous dans une telle situation. J'ai vraiment aimé ça.


Certaines histoires sont plus marquantes que d'autres. Si j'ai déjà parlé de A dans le corps d'une ado dépressive, je me dois aussi de parler de A dans le corps d'une transsexuel. C'était risqué d'écrire dessus mais merci à David Levithan d'avoir spécifié combien cette situation est à la fois évidente et complexe. Vic est génétiquement une fille. Mais c'est un homme. Et A appelle Vic "il" durant tout le récit. Je sais que ce n'est qu'un détail mais ça m'a fait sourire et m'a touché, quelque part.

Ceci est sans doute le pire article que j'ai pu écrire et pourtant, cette lecture a été tellement belle pour moi. Vraiment, c'est marquant comme récit. Dérangeant parfois, troublant c'est sûr. Mais j'ai beaucoup aimé. Je pense que c'est quitte ou double pour cette histoire mais je vous la conseille fortement. De plus, ça se lit très vite et on découvre de nouvelles histoires assez régulièrement donc pas le temps de s'ennuyer !


La morale est d'ailleurs très belle et j'ai eu le cœur brisé en découvrant la fin car j'avais pensé à un tel final et j'ai été contente de voir que l'auteur avait pris cette direction que je trouve idéale. Donc certes, il m'a manqué un certain "quelque chose" pour que ce soit un coup de cœur mais ça reste une très belle lecture.

jeudi 26 mai 2016

Quand la nuit devient jour ; Sophie Jomain.

Hello les poussins !
 .

Sophie Jomain, je l'ai découvert grâce Aux étoiles de Noss Head il y a seulement quelques mois. J'ai le premier tome dans ma PAL depuis un moment mais je n'ai pas franchi le pas - pas encore. Par contre, avant que Quand la nuit devient jour sorte, j'étais déjà intriguée et intéressée par ce livre. Il me plaisait alors que je ne connais rien de lui.


Pour faire court, nous allons suivre Camille, une jeune femme de vingt-neuf qui est en dépression depuis tellement de temps qu'on se demande si elle a connu le bonheur un jour. Et, à force de cherche un remède au bonheur, elle finit par se dire que le mieux pour elle serait l'euthanasie - un droit qu'on finit par lui accorder. Dans six mois, elle cessera d'exister.


Après avoir lu Avant toi, ce n'était sûrement pas le meilleur livre à lire et pourtant... Enorme coup de cœur ! Tellement énorme que je crois que le livre se place sur la deuxième marche du podium. J'ai tout aimé de ce livre, même ses imperfections.

J'ai aimé ce chapitre introductif qui retrace la vie de Camille. On y découvre une enfant attachante, une ado tourmentée, une femme perdue, une femme qui n'a plus d'issue à sa peine. Je ne me suis jamais aussi vite attaché à une héroïne. En l'espace de quelques pages, j'étais sous le charme. Sa vie a été semée d'embuches et malgré tout cela, elle reste forte et consciente de ce qui lui arrive. J'ai tellement souffert avec Camille... Et versé tant de larmes. A cause de sa situation mais surtout, à cause de tous ces moments de bonheur que la dépression lui vole. Et lui volera toujours car dans son cas, c'est chronique.


Et ce n'est pas faute d'avoir essayé de se faire soigner ! Camille a tout essayé. A tous âges, à tous les niveaux. Mais Camille est malheureuse et le sera pour toujours. Son mal-être est incurable et des médecins s'accordent à le dire en lui donnant le droit au suicide assisté. L'histoire se passe principalement en Belgique, d'où la légalisation de ce droit. Et on suit ensuite Camille dans un institut qu'elle a décidé de rejoindre afin d'être "en paix avec elle-même" avant l'instant fatidique.

Je reviens deux minutes sur le sujet, tout de même. Au début, j'ai été vraiment intriguée par ce droit à l'euthanasie. Je ne vais pas lancer le débat du "pour" ou "contre" mais je vous partage quand même mon opinion pour que vous compreniez ce que je raconte. Je suis complètement pour, d'autant plus que cela est très encadré. Je ne comprends pas où est la "dignité" quand on force quelqu'un à souffrir pour à tout prix ne pas le tuer. Et le coma ne règle pas tout - tout comme la morphine.


Aussi, je reconnais que pour en bénéficier, il faut être "sain d'esprit" ou en tout cas, une équipe de médecins estiment que vous êtes en pleine possession de vos moyens, que vous avez conscience de ce que cela implique. Seulement, dans le cadre de la dépression, j'étais gênée car justement, c'est la maladie qui pousse Camille a faire valoir ce droit. Mais lorsque la maladie devient chronique, qu'est-ce que cela veut dire ? Et la notion de "bonne santé" implique aussi l'état de santé mental donc... Voilà, ce droit à l'euthanasie suscite beaucoup de débats en général mais alors dans ce cas-là, j'étais encore plus larguée... Mais cela n'a gâché en rien ma lecture !

Je vais rester vague sur cette lecture car je ne voudrais vraiment pas vous spoiler mais j'ai été sincèrement bouleversée par tout ce que m'a apporté cette histoire. Pour que je dise que Quand la nuit devient jour est mon second livre préféré, ce n'est pas sans raison ! J'ai cru à une autobiographie tellement j'étais plongée dans ce récit et cette fin... Disons qu'il y en a deux. L'une, très ouverte, sadique au possible, qui me tue autant qu'elle me satisfait. Et il y a l'autre. La seconde fin. La vraie fin. Parce que l'histoire se termine par une lettre et cette lettre m'a fait changer ma façon de voir cette fin et à l'apprécier d'avantage. C'était beau. Et grandiose. Un final que j'aime sincèrement - de tout mon cœur.


Comme vous avez pu le comprendre, je vous conseille vivement ce livre. Ayez le cœur bien accroché cependant et savourez chacun des mots de Sophie Jomain car ce livre est court. Trop. Et on n'en ressort pas indemne.

dimanche 21 février 2016

Bienvenue.


Hello les artichauds !



Comme vous pourrez le voir, Juicy N Books est un blog consacré à mes lectures ainsi qu'à l'écriture, deux de mes passions. Vous pourrez retrouver ici mes lectures passées, celles que je prévois de lire ou celles qui m'ont marqué (en bien ou en mal, d'ailleurs).


J'ai récemment repris mon blog en main afin de ne plus vous répertorier toutes mes lectures mais seulement celles que je juge "marquantes". Je ne trouve plus intéressant le fait de vous parler de l'ensemble de mes lectures car rapidement, elles sont noyées dans la masse et vous n'y trouvez plus votre compte. Personnellement, j'aime quand un blog littéraire me parle de romans qui font beaucoup parler d'eux (mais avoir plusieurs avis qui divergent) ou alors, quand je vois des coups de coeur ou de grosses déceptions car cela attise ma curiosité.
Voilà donc pourquoi j'ai remanié le blog afin qu'il soit plus à mon image et tel que je voudrais le lire, entant que lectrice et que personne.


Pour ce qui est de l'écriture, je ne suis pas de blog qui en traite. Aussi, je ne sais pas ce que vous attendez comme contenu mais pour ma part, j'ai seulement envie de parler écriture, de ce qui m'inspire, ce qui me bloque... Je vous parlerai de mes différents projets, de leur création, de mon avancée ainsi que, à mon simple niveau, je peux vous apporter au travers de conseils que j'ai acquis au fil des années, de chaines Youtube, d'articles ou encore de livres qui parlent d'écriture. Que ce soit d'ailleurs des conseils d'écriture purement théorique ou de romans qui traitent de l'écriture ou dont le procédé est différent et intéressant.


Pour ce qui est de moi, je vous invite à me retrouver sur différentes plateformes.
Tout d'abord, sur mon compte Twitter où pour le coup je parle de toutes mes lectures ainsi que d'écriture (et beaucoup de ma vie privée, je l'avoue).
Sur Instagram, vous retrouverez l'aspect privé de ma vie en photo mais je fais également des Insta stories où je raconte mes lectures en cours et/ou mes projets écriture en temps réel.
Sur Wattpad, pour retrouver mes différentes fictions/fanfictions/nouvelles.

Pour me présenter, je vais tâcher d'être brève.
Je m'appelle Pauline, j'ai 24 ans et j'habite du côté de Lyon. La lecture est redevenue le centre de ma vie il y a plus de deux ans et c'est à peu près à la même période où j'ai décidé de créer ce blog (qui a connu maintes mises à jour et reconstructions).
Concernant l'écriture, j'ai commencé très jeune. J'avais 6 ans quand j'ai présenté ma première histoire à ma mère avant qu'à l'adolescence, le besoin d'écrire soit si grand qu'il a envahi mon quotidien. La passion ne m'a jamais quitté en 11 ans et elle continue encore aujourd'hui, avec mes romans que je garde secret jusqu'à ce que je me sente prête à les montrer au monde.

J'espère que ce blog vous plaira et que vous aurez envie de lire les bouquins que je vous propose. Pour l'écriture, si j'arrive à vous motiver ou vous inspirer à travers mes articles, ce serait merveilleux.
Bonne lecture et à bientôt.